Charlie Hebdo de nouveau en danger de mort
Le quotidien Français Charlie Hebdo est sous de nouvelles menaces de mort.
Il faut dire que celui-ci s’est particulièrement fait connaître du reste de la planète grâce au slogan, « je suis Charlie » repris en cœur de par le monde entier.
En effet, le 7 janvier 2015, une attaque terroriste a été perpétrée dans les locaux du journal satirique. Comme bilan, 12 morts et 11 blessées dont 4 grièvement.Les assassins qui se sont revendiqués d’Al Qaïda dans la péninsule arabique ont été tués deux jours plus tard par les membres du GIGN qu’ils attaquèrent au fusil d’assaut en sortant de l’imprimerie où ils s’étaient retranchés.
Les deux jours qui suivirent furent marqués par des meurtres et des prises d’otages, tous perpétrés par Amedy Coulibaly, complice des frères Kouachi auteurs de l’assaut de Charlie Hebdo. Le motif de cette attaque? ‘‘Laver l’affront’’. En effet, le journal satirique avait publié des images caricaturales que les musulmans trouvaient plus qu’insultantes.
Après cela, c’est le monde entier qui s’est engagé à soutenir les victimes, en scandant « je suis Charlie ». Cette fois-ci, de nouvelles menacent ont été avancées contre le journal via Facebook, après les numéros du 14 juillet et celui du 10 août.
Après avoir reçu une soixantaines de messages glaçants, le journal a décidé de porter plaintes.
Dans le numéro sorti le mercredi 10 août, là une image présente un couple de musulmans courant nu sur la plage, ainsi qu’un appel à se « décoincer ».
L’une des menaces reçues avertie même d’un prochain attentat. Il semblerait que ce ne soit pas la première fois que le magazine porte plainte. D’ailleurs, une source confirme que le magazine avait déjà reçu des menaces de morts pendant l’Euro. À la une à ce moment-là, le footballeur Antoine Griezmann matérialisé en vibromasseur, suivi du slogan « faites nous vibrer ». D’autre part, il faudrait savoir que ces menaces durent depuis plus d’un mois, mais se sont faites de plus en plus insistantes après la publication du numéro du 9 juillet. L’enquête suit son cours…
Rédigé Par Dona Belibi