Ma famille : la série revient avec la saison 2
C’est le grand retour pour les acteurs de la série ivoirienne, ‘‘Ma famille’’.Lancée en 2002, la série a été interrompue cinq ans après. C’est donc le grand comme back de la série sur nos écrans avec la saison 2.
Ma famille : la série ivoirienne saison 2
C’est 300 nouveaux épisodes de 26 minutes de la série « Ma famille », rebaptisée ‘‘ma grande famille ’’ qui seront diffusés sur nos écrans. Plusieurs des acteurs de la série se sont exprimés sur le sujet. « Ma grande famille nous replonge dans les déboires de la vie conjugale du duo mythique Delta-Bohiri, et des nombreuses maîtresses qui tournent autour de monsieur » a expliqué la comédienne Akissi delta.
Ce ne sera donc pas un déphasage, mais une suite logique de la première saison.La réalisatrice a ajouté à ce sujet que « cette deuxième saison est une continuité ; c’est la suite logique de la première ». Encore que, selon la réalisatrice de « Ma famille », la série traite des sujets bien au-delà de la simple vie conjugale tels que l’éducation,la santé, la tradition et même la sexualité.
L’objectif de la série sera donc de mettre en exergue le quotidien de la société africaine, particulièrement ivoirienne, la cohabitation de plusieurs couches sociales, des ragots, des mensonges et des intrigues toutes aussi captivantes les unes que les autres.
Cependant, il faut préciser que la série « Ma famille » revient de loin, notamment au travers des péripéties qu’a connu sa principale vedette Akissi Delta.
En effet, la star ivoirienne a connu de gros souci de santé, qui ont bien failli avoir raison d’elle. Ces derniers ont émergé après la crise post-électorale ivoirienne de 2010-2011. L’actrice accuse notamment « des méchants et de mouchards » d’avoir voulu la manipuler, et même de l’avoir poussé a des tendances suicidaires.
Mais c’est de l’histoire ancienne tout ça, les fans de série seront certainement ravis de retrouver leurs acteurs favoris, en particulier le Camerounais Ebeneze kepombia ( Mintoumba ) qui fera partie du grand collectif.
Hervé Atangana
